2. Les beaux albums NPCK

    Que voilà aussi une publication capable de nous faire retrouver l'ambiance des bonnes soirées au coin du feu, quand l'on passe son temps à coller des vignettes dans les albums appropriés. Mais  diable, cela ne vous satisfait pas trop quand vous vous apercevez qu'il vous en manque certaines et que peut-être vous aurez de la peine à vous les procurer. 

    D'où, sur le marché de l'occase actuel, ces albums qui offrent des manques. Leur prix est alors zéro. Ou à peu près, le collectionneur d'aujourd'hui tenant à ce que les albums soient complets, et qui mieux est, en parfait état. 

    Mais les ouvrages NPCK se collectionnent-ils ? S'ils ne le sont pas encore, ils le seront. Car d'eux émane un charme particulier, et puis aussi ils ne sont pas sans intérêt. Le problème, la collection est diverse et comprend de nombreuses séries. Avec des premières publications qui sont quasiment introuvables. Il y a donc du pain sur la planche pour l'amateur de vieux bouquins qui voudrait réaliser aujourd'hui la série complète, de 1920 environ à l'année 2012 où la maison Nestlé vendait son secteur Mondo à Bea. Triste repli sur la simple commercialisation des produits ordinaires.