L'un de nos textes préférés. A la base écrit en 1981. Où l'on n'est même pas dans la force de l'âge. 34 ans. Comment alors peut-on voir son village ? Ses activités, ses moeurs, sa poésie.On tente naturellement de s'attarder plus sur celle-ci, par exemple, dans un texte consacré aux saisons, que sur la vie économique de sa localité. On veut voir ce qui est beau, attachant, ce qui a encore un rapport solide avec le passé. On voudrait en fait transcender la vie de son village, qu'elle soit plus belle qu'en réalité. Une sorte de vie rêvée. Une forme d'enchantement. Telles pouvaient donc être nos motivations de l'époque.
Preuve de l'attachement à ce texte, il y en eut deux versions. Laquelle est la meilleure ? Nous n'en avons aucune idée. Il conviendrait d'abord de relire ces deux opus. Ce que nous ne feronssans doute pas, préférant, et de loin, en écrire d'autres. Peut-être moins bons, c'est possible, mais au moins dans notre propre actualité.
↓ (PDF) 125. Les saisons de mon village
↓ (PDF) Les saisons de mon village nouvelle mouture -