Il habitait au Pont. Comme tout un chacun son destin était de quitter notre pourtant brave terre pour un monde meilleur. Lors de la vente de sa maison du Pont, ses enfants étaient chargés de la vider. Que l'on prenne tout, tel était le commandement. On ne prit pas tout, mais passablement d'objets qui allaient, dans cette nouvelle période de la vie du Patrimoine, enrichir de manière notable ses collections, notamment en ce qui concerne les outils, de jardin surout.
Ce fut une belle et heureuse prise dont on ne témoigne ici, malheureusement, que par un inventaire. A défaut de grives on mange des merles. C'est aussi qu'il s'agissait de mettre au point notre système d'inventaire. On nous pardonnera volontiers, on le pense, ce petit faux-pas!
↓ (PDF) 165. André de la Gare nous gâte