De 1866, il aurait été dommage de la jeter.
Elle n'est pas de toute première fraîcheur, avec un vernis apposé à la diable et deux vitres cassées. Cependant, à la regarder de plus près, on découvre que le bois est intact. Après un siècle et demi d'existence. Il est vrai qu'elle se trouve sur une grande façade située à bise, et que par conséquent elle n'a pas reçu des quantités formidables de pluie. D'où son absence totale de pourriture.
Elle vient d'être remplacée. Il convenait donc d'en prendre soin, ceci afin qu'elle puisse raconter son histoire. A découvrir en annexe.
↓ (PDF) Une pauvre fenetre