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23. Capitaine Ricardo et Victor Vincent

Publié le 08 décembre 2020 dans La vie quotidienne dans les années cinquante par les imprimés

La plupart des couvertures ont été réalisées par Fred Funcken

    Brochures de 32 pages, écrites, imprimées et diffusées par Gustave Van Loo, d'Anderecht en Belgique. 

    Deux séries, Victor Vincent et Capitaine Ricardo. Chacune fait plus de 500 numéros. 

    C'est écrit à la hâte, avec une profusion de termes anglais tels que hell, devill, damned, OK, yes etc... Quelques-uns des héros sont récurents, d'autres ne font apparition qu'une fois, juste le temps d'éliminer une bande de gredins et de se marier si l'héroïne du jour est jolie, ce qui est presque toujours le cas. 

    Donc une bouffée de romantisme dans cette littérature hâtive, presque bâclée, mais néanmoins faite d'un dynamisme tonitruant et au final, d'un certain humour. Puisque les adolescents auxquels ces publications s'adressaient, n'allaient pas croire qu'il est si facile que cela  d'éliminer toutes ces canailles qui hantaient l'ouest américain, toujours prêtes à faire un mauvais coup. 

    Leur pendaison est toujours un soulagement! 

    Dans le fond, avec une littérature de ce genre, où les gredins reçoivent toujours le châtiment de leurs "peines", on se régale! 


(PDF)  23. Ricardo et Victor Vincent