On sait que 500 chevaux passèrent à la Vallée. Il faut croire qu’on ait pu les nourrir sans trop de problèmes. Pauvres bêtes affamées qui n’avaient eu à se mettre sous la dent que des aiguilles de sapin. Les chevaux de trait étaient les moins gâtés, qui devaient tirer des pièces d’infanterie lourdes comme du plomb. On n’imagine pas la misère générale de ces bêtes de somme. Desquelles, nos chroniqueurs combiers n’ont pratiquement jamais parlé. On n’en était pas encore à voir à l’œuvre la Société protectrice des animaux en des temps où l’on commençait à peine à s’occuper des blessés de guerre.
Littérature à ce titre un peu décevante.
↓ (PDF) 25. Le dur calvaire des chevaux de l'armée de l'Est