Mélanie Meylan, auteur de cette poésie à l'âge de quatorze ans, ne savait pas que son oeuvre allait en quelque sorte créer un mythe et passer à la postérité. Le succès fut déjà contemporain, puisque cette poésie fut rééditée par le Messager, le journal de la Vallée de Joux, cela vers 1880. Et sans doute aussi, plus tard, par la FAVJ.
Bref, elle courait les rues. Un iconoclaste se permit même de se l'attribuer sans vergogne aucune. On découvrira dans cette nouvelle rubrique comment ce farceur fut jugé par ceux qui avaient encore connaissance du passé littéraire de leur Vallée.
Une poésie donc à ne pas oublier...
↓ (PDF) 17. La bonne fortune d'une poésie