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120. Confitures et respect du à nos mères - et à nos pères ! -

Publié le 29 janvier 2021 dans La vie quotidienne dans les années cinquante

Celles-ci ne peuvent laisser personne indifférent...

    Ca sent bon la confiture. C'est notre mère qui en prépare des tonnes, car nous en mangeons au déjeuner et au souper. Pour moi, c'est deux ou trois tartines à chaque fois. En mon imagination débordante!, je les aligne toutes depuis notre village jusqu'au Lieu. Et selon mes calculs j'y arrive presque. Ne me reste plus qu'une bonne centaine de mètres et me voilà au niveau de l'église. 

    Bonnes odeurs de confitures. Une part importante sera faite des fruits que nous offrent les arbustes du jardin, cassis, groseilles, raisinets, et même framboises, là près du garage. En gelée souvent. Alors il s'agit de presser tout ça. Y a du jus partout, rouge et noir. Ca colle. Y a des abeilles ou des guêpes, car avec le chaud, on ouvre la fenêtre. 

    Cà doit sentir la confiture à plus d'un kilomètres pour tous ces insectes. Pour cela qu'ils rappliquent. Qu'ils ont vu la maison et qu'ils sont rentrés sans frapper. 

    Voilà ce que c'est, quand on a un grand jardin, et que surtout, on mange beaucoup de confiture! 


(PDF)  120. Confitures et respect du aux mères