Chaque tronc abattu devait être martelé et répertorié. Pour le marquage, on procédait avec une hache à marteler. Celle-ci possédait d'un côté un taillant, et de l'autre une marque. Il suffisait de taper fortement ce côté-là pour que la marque s'inscrive dans le bois.
Les marques possédaient le nom de la commune propriétaire, du village ou du particulier. On notait ensuite le numéro apposé à côté de la marque sur le carnet avec le volume du tronc déterminé par ce que l'on nommait le cubage.
Les plaquettes de plastique remplacèrent les marques traditionnelles.
↓ (PDF) 14. La hache à marteler