La louve, Jean-François Robert, La mémoire des Combiers, p. 13
Le passe-partout soit la louve. On trouva bon, après la seule hache, de se faciliter la tâche en inventant une scie qui puisse, maniée à deux, permettre non seulement d'abattre de manière plus aisée les arbres, mais aussi de les débiter en billes de plus ou moins grande longueur. On gagnait du temps, on gagnait aussi de la peine. La louve entra donc en forêt aussi bien que la hache.
C'est un bel outil, de près de deux mètres de long parfois, et que l'on retrouve encore assez facilement pour des dimensions quelque peu moins importantes et de forme simple. Car il existe là aussi plusieurs formes de louves, et surtout plusieurs formes de dents. Celles dites dents de loup, ont certainement donné le nom à l'outil, soit la louve.
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