Une maison restée presque méconnue dans l'histoire horlogère de la Vallée de Joux. Et pourtant, pour l'Exposition universelle de Paris de 1878, elle pouvait présenter trende-deux mouvements à remontoir de sept à vingt lignes, les uns simples, les autres présentant les diverses complications applicables à une montre: répétitions à quarts, à cinq minutes et à minutes; - grande sonnerie; - chronographes divers; - quantièmes simples et perpétuels; - phrases de la lune.
Quel collectionneur posséderait-il encore l'une de ces fameuses montres Etienne Meylan ?
↓ (PDF) Enquête sur une ancienne entreprise horlogère du Lieu