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Un pays d'horlogers et de pendules d'église!

    Dès le milieu du XVIIIe siècle, à la suite de Samuel-Olivier Meylan, des centaines voire des milliers de Combiers se consacrèrent au métier d'horloger. Certains n'étaient que d'honnêtes artisans, consciencieux mais sans génie particulier. Il pratiquaient avant tout le métier pour gagner leur vie, ou tout au moins, car nombre d'entr'eux restaient paysans, pour ne pas avoir des fins de mois trop difficiles. 

    D'autres de ces professionnels par contre, plus doués, plus inventifs, créèrent des pièces originales, des outils performants, bref, firent d'une manière ou d'une autre progresser l'horlogerie, en repousser un peu les limites. 

    Mais tous ils contribuèrent à rendre le métier profitable à l'ensemble de la population. 

    L'histoire de l'horlogerie à la Vallée pourrait paraître bien connue. Elle ne l'est en réalité que partiellement. Bien des zones d'ombre demeurent. Et surtout nombre d'entreprises, qui avaient leur place parmi les plus grandes dont on a retenu l'histoire, ne sont jamais citées. Il suffit à cet égard de consulter l'annuaire Davoine du début du XXe siècle pour se rendre compte de la prodigieuse densité des enseignes, et cela dans chaque village, sans en oublier aucun. 

    Cet aspect de notre histoire horlogère semble ne pas intéresser grand monde, mis à part quelques passionnés qui n'arrêtent pas de fouiller le passé  et d'en ressortir des éléments qui tous, un peu plus, permettent de mieux comprendre ce milieu si particulier. 

    Nous n'avons pas la prétention ici d'éclairer l'histoire, ni de proposer des monographies sérieuses et complètes. Nous nous contenterons de mettre en lumière certaines facette de cette histoire fascinante. 



1. Une machine à coudre extraordinaire
2. Un livre d'horlogerie magnifique
3. Un pistolet microscopique.
4. Le millionomètre des frères Le Coultre
5. Le livre indispensable de François Jéquier.
6. Quand la maîtrise se saborde...
7. Une fiction
8. De l'entreprise H. Magnenat à celle de Samuel Aubert, le tout Derrière-la-Côte.
9. L'indispensable Indicateur Davoine.
10. La pendule de l'école du Séchey.
11. La première pendule de la Tour de l'Abbaye (1699)
12. La deuxième horloge de la Tour de l'Abbaye
13. La pendule du collège de l'Abbaye.
14. La pendule de la première église du Pont.
15. La pendule de la nouvelle église du Pont inaugurée en 1900.
16. La pendule électrique du collège du Pont.
17. La première pendule d'église du village des Charbonnières.
18. La seconde pendule d'église des Charbonnières.
19. Les trois pendules d'église du Lieu.
20. Les trois pendules régulatrices de la commune du Lieu et notes sur Paul Reymond.
21. La première pendule d'église du Sentier.
22. Jean Emmanuel Rochat, marchand horloger des Charbonnières en 1771.
23. Une famille de cadraturiers des Charbonnières.
24. Quand la commune du Lieu s'inquiète pour son industrie horlogère - 1889 -
25. Notes diverses sur Louis Audemars-Valette (1850-1925)
26. Timothée Golay, ou la passion qui rend fou!
27. Quand Louis Hymans (1829-1884), journaliste belge, passe à la Vallée de Joux en 1880 et s'extasie devant notre degré de prospérité.
28. Benjamin Golay, horloger et secrétaire de commune (1717-1795).
29. Paul-Auguste Golay, alias David des Ordons, cadraturier de génie et conteur hors pair (1873-1937)
30. Enquête sur l'ancienne entreprise horlogère Etienne Meylan du Lieu.
31. Projet de la construction d'une usine d'horlogerie au Lieu en 1840.
32. La désillusion d'Anthoine Lecoultre, un texte d'Auguste Piguet.
33. Ce Ferdinand Capt, un sacré coco!
34. La Société suisse de chronométrie pose sa tente au Sentier en 1929.
35. L'atelier de Numa Rochat au Pont.
36. L'atelier de Reynold Dubois au Pont.
37. Ambiance d'atelier.
38. Une belle montre pour Esther Rochat, de la famille des Charpentiers des Charbonnières
39. Quand le peintre Henry Meylan décore le hall de la BCV du Sentier.