5. Des vieilles maisons témoins de la vie d'autrefois.

    Nos bonnes vieilles maisons combières. Dont le nombre, tout au moins celles ayant conservé le cachet de l'ancien, disparaîssent les unes après les autres. Ce qui nous fait dire que la dernière que l'on pourra encore visiter, sera celle des Mollards des Aubert, alors que tout est fait pour lui conserver l'authenticité  de l'ancien.

    Nous n'avons pas su, en son temps, pénétrer dans nombre de celles-ci afin d'en étudier la structure, d'en dresser les plans, et surtout d'en photographier les éléments principaux. Echappent à la règle deux maisons du Séchey, dont celle en rose qui était propriété autrefois de la famille Lugrin, celle-ci s'étant éteintes, appartenant à un nouvel occupant, sauf erreur, un certain Chevalier. Le botin téléphonique de la fin des années septante - à retrouver - devrait nous permettre de confirmer cette hypothèse.

    Les photos que nous avions pu prendre à l'époque, au début des années huitante, c'était il y a 45 ans, du temps ont  subi l'outrage. Elles ont donc vieilli, passant des couleurs d'alors à un brun-rouge assez peu agréable. Nous regrettons naturellement cet état contre lequel nous ne pouvons rien. Ces photos permettront néanmoins de pénétrer dans l'un de ces vieux intérieurs où le bois dominait. Gare l'incendie ! 

    Heureusement la maison rose est toujours debout, et son propriétaire actuel la chérit comme il se doit. Tout est donc bien.