Noël, notre plus belle fête de l'année, mérite bien que l'on s'y attarde un peu. Si l'on considère que l'on envisage la grande fête depuis début novembre, cela fait deux mois de Noël, un sixième de l'année, ce qui n'est pas rien!
Pour nous ce laps de temps est de beaucoup exagéré, et même si en novembre déjà, plutôt sur la fin, l'on sent déjà quelques frissons nous parcourir l'échine. On devine quelque chose, qui prend de plus en plus d'importance au fil des jours, jusqu'à ce que l'on allume la première bougie de l'avent. Désormais tout tendra à Noël, partout dans les magasins, dans les églises, dans les écoles. Et ce ne sera plus désormais qu'une longue attente qui se terminera par la nuit du 24 décembre, soit le réveillon de Noël.
Hélas, hélas, pourquoi cette fête ne dure-t-elle pas plus que les 24 et 25 décembre, pour s'achever tristement le 26 décembre où il nous semble avoir été un peu floué. Que ce trop de lumière des jours précédents pouvait être factices, que les émotions que l'on ressentait, souvent liées à l'enfance, n'étaient pas aussi vraies qu'on le croyait.
M ais tout cela ne changera quand même rien. Elle est si belle, la période de Noël.